Alors voilà , a cause ou grâce à notre oracle et sa passion compulsive pour les vintage, je me lance moi aussi dans ma première réalisation.
Au départ, je ne suis pas du tout Rolex, mais force est de constater que c'est sur cette marque que les vintages passent le mieux.
La base choisie est la suivante : Rolex Oyster Perpetual Date Sea-Dweller Double Red 1665. Sont petit nom est aussi DRSD pour Double Red Sea Dweller.
Pourquoi Double Red : tout simplement car 2 lignes de la sérigraphie du cadran sont rouges.
Pour être tout a fait précis il s'agit du cadran MK3 mais Landrax confirmera ou pas car je n'ai pas réussi à faire la distinction entre les 4 dials produits. Elle existe aussi en cadran full white.
Cette montre d'un diamètre de 40mm a été produite de 1967 à officiellement 1977 mais on trouve des modèles datant du début des années 80 vendues en EU et aux US.
C'est la première Rolex à proposer une escape valve et à passer la barre des 500m, certifiée 2000ft soit 610m.
Voilà pour l'historique.
Place à la REP. En fait j'ai profité de l'occasion d'une promo chez Trevor, $76 livrée, y'a pas de quoi se priver. Au passage c'est ma première commande chez lui et il est très pro, très rapide, QC et tout et tout. Par contre comme beaucoup en ce moment, pas de PP, j'ai du passer par WU ce qui m'a couté dans les 4€ inclus dans le prix.
Cette Rep est très convenable pour le prix, le perle est out mais pas très grave dans le cas présent. la date est légèrement décalée, je verrais au remontage si je peux faire quelque chose. Elle est propulsée par un bon vieux 2813 qui est d'une précision redoutable depuis 48h.
On y va pour les photos :
Le cadran de plus près. Ce qui pèche ici c'est les index couleur jaunatre mais trop neuf, pas les indexes d'une montre de plus de 30 ans.
L'entre corne gravé. Les trous des pompes sont traversants comme il se doit mais la encore un peu trop neuf.
Case back, lisse de chez lisse.
Son profil est je trouve assez beau. Noté les différentes couches, CB/case/bezel/plexi.
Et enfin le mouvement, anneau de maintien en acier, système de fixation par vis, montage conventionnel mais de "bonne facture". Sans oublié le joint pour descendre sans problèmes à 600m !
Maintenant le programme des réjouissances :
- Démontage en règle
- exposition du cadran et des aiguilles à l'halogène 500W, à une distance raisonnable afin de vieillir les indexes. Apparemment cette technique fonctionne plus ou moins bien en fonction de la qualité des cadrans. Sinon, plan b, le technique du thé.
- protection du plexi et passage du boitier + CB + bracelet à la boite à pièces pour marquer le tout.
- Immersion boitier + CB + bracelet dans de l'eau salée jusqu'à évaporation complète du liquide.
- Legé polissage.
- Démontage puis passage de l'insert à la javel afin d'obtenir ce petit halo d'acier. Côté perle, je verrais comment elle réagi à la javel au pire je l'enleverrais.
- Remontage de l'ensemble.
Le but du jeu étant d'obtenir une montre proche de celle la :
La suite au prochain post.
Au départ, je ne suis pas du tout Rolex, mais force est de constater que c'est sur cette marque que les vintages passent le mieux.
La base choisie est la suivante : Rolex Oyster Perpetual Date Sea-Dweller Double Red 1665. Sont petit nom est aussi DRSD pour Double Red Sea Dweller.
Pourquoi Double Red : tout simplement car 2 lignes de la sérigraphie du cadran sont rouges.
Pour être tout a fait précis il s'agit du cadran MK3 mais Landrax confirmera ou pas car je n'ai pas réussi à faire la distinction entre les 4 dials produits. Elle existe aussi en cadran full white.
Cette montre d'un diamètre de 40mm a été produite de 1967 à officiellement 1977 mais on trouve des modèles datant du début des années 80 vendues en EU et aux US.
C'est la première Rolex à proposer une escape valve et à passer la barre des 500m, certifiée 2000ft soit 610m.
Voilà pour l'historique.
Place à la REP. En fait j'ai profité de l'occasion d'une promo chez Trevor, $76 livrée, y'a pas de quoi se priver. Au passage c'est ma première commande chez lui et il est très pro, très rapide, QC et tout et tout. Par contre comme beaucoup en ce moment, pas de PP, j'ai du passer par WU ce qui m'a couté dans les 4€ inclus dans le prix.
Cette Rep est très convenable pour le prix, le perle est out mais pas très grave dans le cas présent. la date est légèrement décalée, je verrais au remontage si je peux faire quelque chose. Elle est propulsée par un bon vieux 2813 qui est d'une précision redoutable depuis 48h.
On y va pour les photos :
Le cadran de plus près. Ce qui pèche ici c'est les index couleur jaunatre mais trop neuf, pas les indexes d'une montre de plus de 30 ans.
L'entre corne gravé. Les trous des pompes sont traversants comme il se doit mais la encore un peu trop neuf.
Case back, lisse de chez lisse.
Son profil est je trouve assez beau. Noté les différentes couches, CB/case/bezel/plexi.
Et enfin le mouvement, anneau de maintien en acier, système de fixation par vis, montage conventionnel mais de "bonne facture". Sans oublié le joint pour descendre sans problèmes à 600m !
Maintenant le programme des réjouissances :
- Démontage en règle
- exposition du cadran et des aiguilles à l'halogène 500W, à une distance raisonnable afin de vieillir les indexes. Apparemment cette technique fonctionne plus ou moins bien en fonction de la qualité des cadrans. Sinon, plan b, le technique du thé.
- protection du plexi et passage du boitier + CB + bracelet à la boite à pièces pour marquer le tout.
- Immersion boitier + CB + bracelet dans de l'eau salée jusqu'à évaporation complète du liquide.
- Legé polissage.
- Démontage puis passage de l'insert à la javel afin d'obtenir ce petit halo d'acier. Côté perle, je verrais comment elle réagi à la javel au pire je l'enleverrais.
- Remontage de l'ensemble.
Le but du jeu étant d'obtenir une montre proche de celle la :
La suite au prochain post.