- 25/3/22
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Bonjour à tous,
Je voudrais partager avec vous un article sur Julien V., qui a récemment défrayé la chronique. À seulement 25 ans, il se vantait d'être millionnaire et le principal revendeur de montres de contrefaçon en France.
Julien V. a récemment comparu devant un tribunal à Paris, où il a dû affronter seul l'opposition de nombreux avocats représentant des marques de luxe en tant que parties civiles. Il a d'ailleurs écopé d'une amende douanière de 206 millions d'euros.
Son histoire est intrigante : elle révèle un parcours inhabituel, de Nice à la Thaïlande, en passant par la Chine, où il aurait initié son activité de contrefaçon. Malgré les poursuites judiciaires et les saisies de matériel, il semble avoir persisté dans ses activités.
Ce jeune homme prétendait que son entreprise n'était qu'un "passe-temps", mais les autorités ont découvert une production considérable de montres de contrefaçon, vendues sur les réseaux sociaux et par le biais d'applications de messagerie, notamment sur Telegram où ses anciens groupes "Prestige Watch" semblent toujours actifs.
D'ailleurs, je serais curieux de savoir quelle usine fournissait ses produits, si vous avez des informations à ce sujet ?
Je suis impatient de connaître votre avis et détails cacher sur cette affaire. Qu'en pensez-vous ?
Partagez vos réflexions
Merci de votre participation !
Je voudrais partager avec vous un article sur Julien V., qui a récemment défrayé la chronique. À seulement 25 ans, il se vantait d'être millionnaire et le principal revendeur de montres de contrefaçon en France.
Julien V. a récemment comparu devant un tribunal à Paris, où il a dû affronter seul l'opposition de nombreux avocats représentant des marques de luxe en tant que parties civiles. Il a d'ailleurs écopé d'une amende douanière de 206 millions d'euros.
Son histoire est intrigante : elle révèle un parcours inhabituel, de Nice à la Thaïlande, en passant par la Chine, où il aurait initié son activité de contrefaçon. Malgré les poursuites judiciaires et les saisies de matériel, il semble avoir persisté dans ses activités.
Ce jeune homme prétendait que son entreprise n'était qu'un "passe-temps", mais les autorités ont découvert une production considérable de montres de contrefaçon, vendues sur les réseaux sociaux et par le biais d'applications de messagerie, notamment sur Telegram où ses anciens groupes "Prestige Watch" semblent toujours actifs.
D'ailleurs, je serais curieux de savoir quelle usine fournissait ses produits, si vous avez des informations à ce sujet ?
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